Articles du mot-clé : psychose hallucinatoire chronique

P. Balvet. De l’importance du sentiment de dépersonnalisation dans la pathogénie des délires. Extrait de la revue « L’Évolution psychiatrique », (Paris), fascicule IV, 1936, pp. 3-26.

P. Balvet. De l’importance du sentiment de dépersonnalisation dans la pathogénie des délires. Extrait de la revue « L’Évolution psychiatrique », (Paris), fascicule IV, 1936, pp. 3-26.   Paul Balvet (1907-2001). Psychiatre. Il dirige l’hôpital psychiatrique de Saint-Alban à partie de 1936, où il initie d’importantes réformes pour humaniser l’asile qui l’époque héberge quelque 500 malades. Il accueille François Tosquelles avec lequel, quelques année plus tard, en 1942, au Congès de Montpellier, ils dénoncent l’immobilisme et la décadence du système asilaire Français, ainsi que l’état des malades mentaux soumis à un véritable génocide. Nous renvoyons à l’histoire de ce lieu mythique largement étudié dès lors. On admet aujourd’hui qu’il fut à l’origine de l’histoire de la psychothérapie institutionnelle. Quelques publication : — (avec A. Chaurand). Asile et En lire plus

Paul Schiff. Automatisme mental. Délire spirite et spiritisme. Article paru dans les « Annales médico-psychologiques », (Paris), douzième série, tome deuxième, quatre-vingt-quatrième année, 1926, pp. 240-249.

Paul Schiff. Automatisme mental. Délire spirite et spiritisme. Article paru dans les « Annales médico-psychologiques », (Paris), douzième série, tome deuxième, quatre-vingt-quatrième année, 1926, pp. 240-249.   Paul Schiff (1891-1947). Médecin, psychiatre et psychanalyste. Neuropsychiatre des prisons. Membre de la Société psychanalytique de Paris et membre fondateur du groupe de l’Evolution psychiatrique. Paul Schiff parviendra non sans peine à rejoindre les gaullistes pour s’engager dans les Forces françaises libres où il combattra jusqu’à l’écrasement des troupes hitlériennes. Fut l’adjoint du secrétaire général, André Cellier, des Sociétés de biotypologie et de prophylaxie criminelle, crées par Edouard Toulouse. Il participa à titre expérimental, aux examens psychiatriques des services, dans les prisons parisiennes de la Santé, de la Petite Roquette et de Fresnes. Quelques publications En lire plus

Maxime Laignel-Lavastine et Cambessadès. Ménage délirant halluciné chronique. Article paru dans « l’Encéphale », (Paris), deuxième semestre, 1913, pp. 479-486.

Maxime Laignel-Lavastine et Cambessadès. Ménage délirant halluciné chronique. Article paru dans « l’Encéphale », (Paris), deuxième semestre, 1913, pp. 479-486. Maxime-Paul-Marie Laignel-Lavastine [1875-1953]. Élève de Joseph Babinski. il s’intéresse à la neurologie, la criminologie et la psychiatrie. Internat de Paris en 1898, Médecin des Hôpitaux en 1907, agrégé en 1910. Enseignant l’histoire de la médecine, c’est très tôt qu’il s’intéressera à la psychiatrie, mais c’est seulement en 1939, en prenant la succession de Henri Claude à Sainte Anne et en occupant la chaire de Clinique des maladies mentales qui se consacra à cette discipline. Organiciste convaincu, il prendra étonnement part à la défense de la psychanalyse comme nous le constatons ici. Parmi ses très nombreux élèves on peur retenir les psychanalystes Maurice Bouvet En lire plus