Articles du mot-clé : film

Georges Méliès. Les cents Quatre farces du diable [The Merry Frolics Of Satan] (1906). 6 mn 33.

Georges Méliès. Les cents Quatre farces du diable (1906). 6 mn 33. Aussi connu sous le nom « The Merry Frolics Of Satan » en angalis, ce court métrge a été réalisé par George Melies en 1906. Deux hommes sont tourmentés par Satan dans une auberge qu’ils se préparent à quitter pour faire, éventuellement, l’expérience d’une promenade en calèche, tirée par un cheval squelettique, à travers le ciel,  avec la permission du Diable, avant qu’il ne prenne l’un des hommes en enfer et le fasse rôtir à la broche. Georges Méliès (1861-1938) Il choisit d’abord la prestidigitation avant de profiter d’une petite donation de son père pour acheter le théâtre Robert Houdin. Il découvre, fin 1895, lors de la première représentation des En lire plus

Trailer Fous à délier [Matti da slegare], par les réalisateurs Silvano Agosti, Marco bellocchio, Stefano Rulli et Sandro Petraglia. 1975. Film documentaire . N. & B. 140 mn.

Trailer Fous à délier [Matti da slegare], par les réalisateurs Silvano Agosti, Marco bellocchio, Stefano Rulli et Sandro Petraglia. 1975. Film documentaire . N. & B. 140 mn. L’extrait que nous présentons ici est inspiré de l’expérience du psychiatre italien Franco Basaglia qui fut à l’origine de la fermeture des hôpitaux psychiatriques en Italie dans les année 60.  

Nicolas Philibert. La Moindre des choses. Les Films du Losange. 1996. Film de 100 mn.

Nicolas Philibert. La Moindre des choses. Les Films du Losange. 1996. Film de 100 mn. Synopsis. Au cours de l’été 1995, fidèles à ce qui est désormais devenu une tradition, les pensionnaires et le personnel soignant de la clinique psychiatrique de la Borde se rassemblent pour préparer la pièce de théâtre qu’ils doivent jouer le 15 août. Au fil des répétitions, les hauts et les bas se succèdent. En fait, ce sont toutes les existences au sein de l’hôpital, un château au milieu des bois, qui se découvrent à travers cette aventure. Transparaissent les petits riens, la solitude et la fatigue, les moments de joie, les rires des pensionnaires, l’attention que chacun d’entre eux porte à l’autre…