Articles du mot-clé : convulsionnaire

V. Guillaud. Le mal de Laïra en mal d’abol. Article paru dans le journal « Le Moniteur viennois », (Vienne (Isère), 1842.

V. Guillaud. Le mal de Laïra en mal d’abol. Article paru dans le journal « Le Moniteur viennois », (Vienne (Isère), 1842. Le Moniteur viennois est un journal d’annonces. Journal politique, judiciaire et littéraire donnant des nouvelles locales. Républicain sous les Timon, Le Moniteur est de plus en plus ancré à droite par la suite.   Le mal de Laïra en mal d’abol. Par le Dr V. GUILLAUD, de Bourgoin   En étudiant l’histoire de notre pays, on rencontre les plus singulières constatations d’épidémie nerveuse dont le caractère est ordinairement méconnue, et qui, attribué, par les auteurs contemporains à l’influence des démons, ne sont en réalité, que des folies contagieuses. En 1842 (1), une singulière épidémie de folie impulsive éclatait dans une petite En lire plus

Michel Collée. Les convulsionnaires chez Carré de Montgeron. Album n°1. Les planches.

Michel Collée. Les convulsionnaires chez Louis-Basile Carré de Montgeron. Album n°1. Les planches. Les éditions originales sont de 1737, 1741 et 1747. Louis-asile Carré de Montgeron (1686-1754). Magistrat et écrivain, il fut un ardent défenseur du Jansénisme et des Convulsionnaires qui  firent florès sans la houlette du diacre Pâris. — La Vérité des Miracles opérés par l’intercession de M. de Paris, démontrée contre M. l’Archevêque de Sens. Ouvrage dédié au Roy. Utrecht, Chez les Libraires de la Compagnie, 1737. 1 vol. in-4°, 4 ffnch., XXVIII p., 32 p., 4 p., 63 p., 79 p., 52 p., 74 p., 56 p., 44 p., 52 p., 32 p., 28 p., XXVIII p., XXXVIII p. — La Vérité des Miracles opérés par l’intercession de M. En lire plus

Les mystiques extatiques et les stigmatisés. Par Alfred Maury. 1855.

 Alfred Maury. Les mystiques extatiques et les stigmatisés. Article parut dans la revue « Annales médico-psychologiques », (Paris), 2e série, tome premier, 1855, pp. 181-232. Louis-Ferdinand-Alfred MAURY  (1817-1892). Très tôt, dès 1836, il se consacre à l’étude de l’archéologie des langues anciennes et modernes, de la médecine et du droit. Son poste officiel à la Bibliothèque nationale, puis à la celle de l’Institut, lui permet d’être au centre du dispositif de ses recherches. Dès l’origine membre de la Société des Annales médico-psychologiques, bien de non médecin, il sera un contributeur zèlé de celles-ci. Ses travaux sur le sommeil et les rêves, en particulier l’analyse de ses propres rêves, en font un précurseur, sur bien des points, des théories que développa la psychanalyse, ainsi En lire plus