Articles du mot-clé : folklore

Émile Mauchamp. Coutumes et superstitions au Marcoc. Extrait de la revue « L’Écho du merveilleux », (Paris), onzième année, n°246, 1 avril 1907, pp. 121-124.

Émile Mauchamp. Coutumes et superstitions au Marcoc. Extrait de la revue « L’Écho du merveilleux », (Paris), onzième année, n°246, 1 avril 1907, pp. 121-124.   Pierre Benoit Émile Mauchamp (1870-1907). Médecin qui fut assassiné près du dispensaire où il exerçait, suite à la découverte d’un manuscrit, dit-on; dans lequel il relatait des pratiques juges « impures et dépravante » des autochtones. Cet article servira de socle à l’ouvrage paru post-mortem : La Sorcellerie au Maroc. Œuvre posthume. Précédée d’une Etude documentaire sur l’auteur et l’œuvre par Jules Bois, et accompagnée de 17 illustrations, la plupart d’après des photographies prises par l’auteur. Paris, Dorbon ainé, s. d., [1911], 1 vol. in-8°, 2 ffnch, 313 p., 1 fnch, portrait de l’auteur. Les [p.] renvoient aux En lire plus

Anonyme. Pourquoi le Diable a-t-il des cornes ? Extrait de la revue « L’Intermédiaire des chercheurs et des curieux », (Paris), volume 5, année 5, colonne 59, et colonne 347.

Anonyme. Pourquoi le Diable a-t-il des cornes ? Extrait de la revue « L’Intermédiaire des chercheurs et des curieux », (Paris), volume 5, année 5, colonne 59, et colonne 347.   Les cornes du Diable. — Pourquoi le Diable a-t-il des cornes ? Les cornes du Diable. Si le plus laid démon du monde Ne peut donner que ce qu’il a : Sous sa peau de serpent immonde, — (N’allez pas trop crier : « holà ! » SI je dépasse un peu les bornes !) — Il fallut bien que le diable eût des cornes, (Moi, j’en suis archi-convaincu,) Puisque qu’avec Eve, sa complice, Il planta ce noble appendice, Sur le front du premier… mari. UN CONFRÈRE.

Louis-Ferdinand-Alfred MAURY  (1817-1892). Bio-bliographie. [Michel Collée]. 2019. 

Louis-Ferdinand-Alfred MAURY  (1817-1892). Bio-bliographie. [Michel Collée]. 2019.  Louis-Ferdinand-Alfred MAURY  (1817-1892). Très tôt, dès 1836, il se consacre à l’étude de l’archéologie des langues anciennes et modernes, de la médecine et du droit. Son poste officiel à la Bibliothèque nationale, puis à la celle de l’Institut, lui permet d’être au centre du dispositif de ses recherches. Dès l’origine membre de la Société des Annales médico-psychologiques, bien de non médecin, il sera un contributeur zèlé de celles-ci. Ses travaux sur le sommeil et les rêves, en particulier l’analyse de ses propres rêves, en font un précurseur, sur bien des points, des théories que développa la psychanalyse, ainsi que la neuro-psychologie. Freud y fait d’ailleurs plusieurs fois référence dans son Interprétation des rêves. L’ensemble de ses En lire plus