Articles de la catégorie : Les grands traités

Les démoniaques d’autrefois. Partie I. Les sorcières et les possédées. par Charles Richet. 1880.

Charles Richet. Les démoniaques d’autrefois. Partie I. Les sorcières et les possédées. Article parut dans la « Revue des Deux Mondes », (Paris), Le année, troisième période, tome trente-septième, 1880, pp. 550-583. Charles Richet (1850-1935), physiologiste lauréat du prix Nobel de médecine en 1913 pour sa description de l’anaphylaxie. Membre de l’Académie de Médecine, de l’Académie des Sciences, il dirigea le Revue scientifique et nous laissa un grand nombre de travaux, en particulier de nombreux articles dans les revues et l’époque et plusieurs ouvrages. Esprit curieux et ouvert il se révéla tour à tour philosophe, psychologue et excellent littérateur. Il fut l’un des cofondateur de l’Institut Métapsychique International (1919) et consacrera une grande parie de sa vie à l’étude des phénomènes paranormaux ou En lire plus

Le Sabbat des sorciers. Par Bourneville et E. Teinturier. 1890.

Bourneville  & E. Teinturier. Le Sabbat des Sorciers. 2e édition. Pars, Aux bureau du Progrès Médical et Lecrosnier et Babé, 1890. 1 vol. in-8°, 38 p., 1 planche hors-texte tirée de l’ouvrage de Bordelon, Histoire des Imaginations extravagantes de Monsieur Oufle. Le premier volume de la collection « Bibliothèque diabolique ». Reprise d’un article initialement paru sous le titre : Le Sabbat. Dans les « Archives de Neurologie. Revue des maladies mentales et nerveuses, publiée sous la direction de J.-M. Charcot », (Paris), tome III, 1882, pp. 115-123 et 249-267. Avec 23 figures sur bois d’après les planches illustrant Ulrich Molitor, Guacius, Abraham Paleigh. – Celui-ci donnera lieu à une publication de librairie, sous le titre « Le Sabbat des sorciers ».Paris, Aux bureaux du Progrès médical et A. Delahaye et En lire plus

Summis desirentes affectibus. Par Innocent VIII. 1484.

Innocent VIII. Summis desirentes affectibus.. 1484. Innocent VIII, Jean Baptiste Cibo, (né à Gênes en 1432 fut pape de 1484 
à 1492, date de sa mort). De mœurs que l’on peut, même encore aujourd’hui qualifiées de « légères », (pour un pape surtout), il fut à l’origine d’une famille nombreuse. Il célébra, dit-on, le mariage de l’un d’eux au Vatican. Ce qui fut une nouveauté. C’est cette bulle qui est à l’origine de la création de l’Inquisition, et qui fortement développée, débouchera que la publication de l »ouvrage de Jacques Sprenger et Jacqies Institoris : Malleus Maleficorum, ex plurimis Authoribus coaceruatus, ac in duos tomes distinctus. Quorum hic prior quos contineat, in altéra pagella videbis. Lugduni. Première édition, Strasbourg, 1585-1586. La pape Innocent VIII En lire plus