Articles du mot-clé : traitement

Oppenheim R. Terreurs nocturnes des enfants. Extrait de la revue « Le Progrès médical », (Paris), 1912, pp. 92-93.

Oppenheim R. Terreurs nocturnes des enfants. Extrait de la revue « Le Progrès médical », (Paris), 1912, pp. 92-93. Nous n’avons rien trouvé aucomme élément bio-bibliogrphique. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Les images ont été rajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection privée sous © histoiredelafolie.fr [p. 92, colonne 1] Terreurs nocturnes des enfants. En présence d’un enfant atteint de terreurs nocturnes, il faut éliminer tout d’abord l’hypothèse d’une lésion organique du système nerveux (sclérose cérébrale, méningite, tubercules cérébraux) ou d’une névrose grave (hystérie, épilepsie) dont les terreurs nocturnes ne seraient qu’une conséquence. Le traitement, dans ces cas, se confondrait avec celui de la maladie principale. En lire plus

Maladies mentales. Continuité du statut médical. Moyen Age. Par Michel Collée.

Michel Collée. Maladies mentales. Continuité du statut médical. Moyen Age. Sous © Michel Collée & histoiredelafolie.fr  MALADIES MENTALES CONTINUITE DU STAUT MEDICAL (Le Moyen-Age) 1. – La réflexion théorique. Tandis que le haut Moyen Age a conservé, au sens le plus étroit, l’héritage des auteurs de langue latine, un réveil intellectuel a été provoqué au XIIe siècle par un double apport des Arabes, avec d’une part la transmission de textes anciens jusqu’alors inconnus de l’Occident médiéval, et d’autre part une réflexion originale sur la médecine et, pour ce qui nous intéresse ici, sur les maladies mentales, classées presque toujours aux maladies de la tête dans une interprétation essentiellement somatique (1). Si des médecins arabes comme Rhazès se sont contentés d’énumérer les En lire plus