Articles du mot-clé : Madeleine Bavent

Affaire curieuse des possédées de Louviers. Par Z.-J. Piérart. 1858.

L’affaire des religieuses franciscaines possédées du couvent de Saint-François de Louviers qui eut lieu au milieu du 17e siècle, plus précisément en 1641, fit grand bruit et reste, après celle de Loudun avec Urbain Grandier et Jeanne des Anges, une des plus emblématique de la possession démoniaque. Déjà en 1591, une jeune fille, servante, nommée Françoise Fontaine avait été possédée par le malin esprit, en la même ville de Louviers… Mais cette histoire fera l’objet d’un autre article. Piérart Z.-J. Le magnétisme, le somnambulisme et le spiritualisme dans l’histoire. Affaire curieuse des possédées de Louviers. (Explications et rapprochements des faits actuels, avec les phénomènes produits par M. Home). Paris, Chez l’Auteur, chez Dentu et chez Germer Baillière, 1858, 1 vol. En lire plus

Un Succube à La Salpêtrière. Par Paul Regnard et Désiré Bourneville.

Nous publions ici un étonnant article paru sans signature. Les auteurs en sont Paul Marie Léon Regnard (1850-1927) et Désiré Magloire Bourneville (1840-1909), qui sont en même temps les créateurs et directeurs de l’Iconographie  photographique de la Salpêtrière, qui parut de 1876 à 1880, formant 3 volumes avec 120 planches hors-texte, que vous pourrez consulter ici dans les mois qui viennent. Via ces images et les textes qui les accompagnent les auteurs s’efforcent de rapprocher des cas qu’ils ont examinés à la Salpêtrière, de ceux des possédées et des extatiques d’autrefois. Le sous-titre de succube n’est pas du tout adapté au sujet traité, il est même antinomique puisqu’il s’agit ici d’une patiente tourmentée par un incube. Nous donnons juste les définitions En lire plus

Hystérie et superstitions religieuses. Par J. Morin. 1909.

L’article que nous reprenons ici dans son intégralité a été écrit par J. Morin et s’intitule, L’hystérie et les superstitions religieuses. Il a été édité d’abord dans la revue « Pages libres », à Paris, par L’émancipatrice (Imprimerie communiste), en 1901, dans les numéros des 8 et 15 juin. Il fut édité en tiré-à-part : Paris, L’émancipatrice, 1902, 1 vol. in-8°, 24 p. C’est celui-ci qui fut notre support. On ne sait rien de l’auteur.   J. MORIN L’HYSTÉRIE ET LES SUPERSTITIONS RELIGIEUSES Paris, L’émancipatrice (Imprimerie communiste), 1909 L’Hystérie et les Superstitions Religieuses La médecine, avant d’être enseignée dans les écoles, fut pendant longtemps, dans l’antiquité, cultivée dans les temples, ne formant d’abord, comme en Grèce et en Egypte, avec la religion qu’un système unique. Quelques connaissances médicales étaient En lire plus