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Rousselot. Légendes et superstitions. La Mandragore. Extrait de la revue « Le Pays Poitevin », 1898, p. 7.

M. Rousselot. Légendes et superstitions. La Mandragore. Extrait de la revue « Le Pays Poitevin », 1898, p. 7.   Nous n’avons trouvé aucun renseignements biographiques ou bibliographiques sur ce Monsieur Rousselot. L’ images a été rajoutée par nos soins. — Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection privée sous © histoiredelafolie.fr [p. 7] La Mandragore. — La Mandragore ou main de goure est un serpent représentant le diable, que l’on servait à table et que l’on déposait ensuite dans une boite. Le soir, on plaçait à côté de lui une pièce de monnaie et le lendemain matin on en trouvait deux. Toutes les personnes qui s’enrichissaient passaient pour avoir une mandragore (on disait quelquefois une paillette). Quand En lire plus

Théophraste Renaudot. – Si le son des Cloches chasse les esprits malins, & pourquoy ? Extrait du « Recueil général des questions traitées és Conférences du Bureau d’Addresse, sur toutes sortes de Matières, Par les plus beaux Esprits de ce temps ». À Paris, chez la veuve Guil Loyson, tome 5, 1655, pp.259-267.

Théophraste Renaudot. – Si le son des Cloches chasse les esprits malins, & pourquoy ? Extrait du « Recueil général des questions traitées és Conférences du Bureau d’Addresse, sur toutes sortes de Matières, Par les plus beaux Esprits de ce temps ». À Paris, chez la veuve Guil Loyson, tome 5, 1655, pp.259-267.   Théophraste Renaudot (1586-1653). Médecin et journaliste. Protestant d’origine, il se convertit au catholicisme vers 1625. Philanthrope, il fonde le bureau d’adresse (1628/1629), destiné à proposer aux pauvres des emplois. Dans le même ordre d’idées il fondé un dispensaire, payant pour les riches, et gratuit pour les pauvres.Philanthrope, il fonde le bureau d’adresse, destiné à proposer aux pauvres des emplois. Dans le même ordre d’idées il fonda un dispensaire, En lire plus

Henry Meige. La procession dansante d’Echternach. Extrait de la « Nouvelle iconographie de la Salpêtrière », (Paris), Tome XVII, 1904, pp. 248-264, et pp. 322- 336.

Henry Meige. La procession dansante d’Echternach. Extrait de la « Nouvelle iconographie de la Salpêtrière », (Paris), Tome XVII, 1904, pp. 248-264, et pp. 322- 336.   Henry Meige (1866-1940).  Élève de Jean-Martin Charcot à la Salpêtrière, il fut un des derniers internes. Ses talents de dessinateur le font être titulaire de la chaire d’anatomie artistique de l’École des beaux-arts de Pais en 1920, tout comme le fut Paul Richer, avec qui il a partagé plusieurs publications. Quelques publications e collaboration avec Jean-Martin Charcot : — Étude sur certains névropathes voyageurs. Paris, 1893. — Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses : (Salpêtrière, 1887-1894), 1895; (par Jules Séglas, colligées et publiées par Henry — Meige).Les tics et leur traitement. Paris, 1902 (avec Eugène Feindel) — En lire plus