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G. E. Hamvas. La relativité de l’interprétation et la plurivalence de l’imagerie onirique. Extrait de la revue « Psyché, Revue internationale de sciences de l’homme et de psychanalyse », (Paris), 5e année, n° 49, novembre 1950, pp. 812-826.

G. E. Hamvas. La relativité de l’interprétation et la plurivalence de l’imagerie onirique. Extrait de la revue « Psyché, Revue internationale de sciences de l’homme et de psychanalyse », (Paris), 5e année, n° 49, novembre 1950, pp. 812-826.   Nous n’avons trouvé aucune autre information bio-bibliograhique sur G. E. Hamvas, que le fait qu’il était médecin et psychanalyste. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Les  images ont été rajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection personnelle sous © histoiredelafolie.fr [p. 812] La relativité de l’interprétation et la plurivalence de l’imagerie onirique. Par le Dr G. E. HAMVAS. « Das Wahre ist das Ganze”. (Le Vrai, c’est la Tout). Hegel. Rien ne pétrifie tant En lire plus

Albert Londe. L’hystérie dans l’art. Recueil de reproductions photographiques de peintures ou gravures sur l’hystérie, accompagnées de notes manuscrites

Albert Londe. L’hystérie dans l’art. Recueil de reproductions photographiques de peintures ou gravures sur l’hystérie, accompagnées de notes manuscrites, composé par Albert Londe. [sans date, fin XXe] – 43 f. de pl.; 33 cm. Verso feuillets blanc et feuillets intercalaires blanc. – Ex libris et signature autographe sur chacune des planches photographiques. Provenance : Jubilothèque.   Albert Londe (1858-1917). Photographie pionnier de la photographie médicale et précurseur cinéma. À partir de 1883, il utilise la chronophotographie pour décomposer les mouvements à des fins d’analyse dans le cadre médical de l’hôpital de la Salpêtrière à Paris, dont il fut directeur de la photographie, et où il participa à la fondation de la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière avec Jean-Martin Charcot.     En lire plus

Jacques Callot. Les sept péchés capitaux. Sept eaux-fortes, 1617-1621). 

Jacques Callot. Les sept péchés capitaux. Sept eaux-fortes, 1617-1621).  Toujours dans le cadre de notre travail sur l’histoire de la folie, qui s’attache aux textes, mais aussi à l’iconographie, nous avons choisi de reproduire des 7 gravures de Jacques Callot. Jacques Callot (1592-1635). Dessinateur et graveur lorrain, considéré comme le maître de l’eau-forte.O n doit à Callot plusieurs innovations qui permirent le plein développement de cet art, en particulier l’utilisation du « vernis dur. Les planches furent probablement à Florence, sans certitude. On ne sait pas non plus pour quel commanditaire elle a été faite ni dans quelles circonstances. Les dates 1617-1621 (1619-1621 pour Avaricia) indiquent la durée de la réalisation et la ville d’édition qui est Florence. [Cf. Elisabeth Poulain]. Nous avons retenus quelques En lire plus