Articles du mot-clé : cœnesthésie

Maurice Macario. Des rêves considérés sous le rapport physiologique et pathologique. Partie 2. Rêves pathologiques. Extrait des « Annales médico-psychologiques », (Paris), tome I, 1847, pp. 27-48.

Maurice Macario. Des rêves considérés sous le rapport physiologique et pathologique. Partie 2. Rêves pathologiques. Extrait des « Annales médico-psychologiques », (Paris), tome I, 1847, pp. 27-48.   Article paru en deux partie, la seconde : Les rêves pathologiques, 1846, également sur notre site. Ces deux articles sont le ferment de l’ouvrage qui paraîtra quelques années pus tard, en 1857 (voir ci-dessous). Maurice-Martin-Antonin Macario (1811-1898). Médecin aliéniste qui participa aux fameux débats des années 50 sur les hallucinations avec Lélut et Brierre de Boismont, il mobilisa son attention et ses recherches également sur les rêves. Elève de Leuret il proposa comme thérapeutique de la démonomanie, un traitement moral énergique. Nous avons retenu de ses nombreuses publications : — Etude clinique sur la démonomanie. En lire plus

Jean Dagnan-Bouveret. La dépersonnalisation. Extrait de la « Revue de Paris », (Paris), dix-neuvième année, tome sixième, novembre-décembre 1912, pp. 630-653.

Jean Dagnan-Bouveret. La dépersonnalisation. Extrait de la « Revue de Paris », (Paris), dix-neuvième année, tome sixième, novembre-décembre 1912, pp. 630-653. Jean Magnan-Bouveret. Agrégé de philosophie, interne des Hôpitaux de Paris. — Il attribue la dépersonnalisation à l’aboulie. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’ouvrage. – Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original. – Les images ont été ajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection privée sous © histoiredelafolie.fr [p. 630] LA DÉPERSONNALISATION La personnalité n’est plus pour nous comme pour l’ancienne psychologie une idée abstraite dont les caractères d’unité et d’identité posaient surtout des problèmes de nature métaphysique. La simple observation intérieure ne permettait pas de pénétrer En lire plus