Articles du mot-clé : autoscopie

Quelques cas d’autoscopie. Par Paul Sollier. 1908.

Paul Sollier. Quelques cas d’autoscopie. Article paru dans le « Journal de psychologie normale et pathologique », (Paris), cinquième année, 1908, pp. 160-165. Paul Auguste Sollier (1861-1933). Médecin neurologue et psychologue. Elève de Désiré-Magloire Bourneville et de Jean-Martin Charcot il soutient la thèse de médecine en 1890 (voir ci-dessous). Il est connu pour avoir été le médecin de Marcel Proust, qui le consulta pour soigner sa neurasthénie. Il semble qu’il soit à l’origine du mot autoscopie pour définir cette hallucination particulière. Quelques publications  : Psychologie de l’idiot et de l’imbécile. Avec 12 planches hors-texte. Paris, Félix Alcan, 1891. 1 vol. Thèse de doctorat en médecine. — L’autoscopie interne.  « Revue de Philosophie de la France et de l’Etranger », (Paris), vingt-huitième année, tome LV, En lire plus

Héautoscopie et onirisme. Le problème du double dans le rêve et le songe. Par Jean Lhermitte, Henri Hécaen et Roger Coulonjou. 1942.

Jean Lhermitte, Henri Hécaen et Roger Coulonjou. Héautoscopie et onirisme. Le problème du double dans le rêve et le songe. Article parut dans les « Annales médico-psychologiques », (Paris), XVe série, 100e année, tome II, n°3, octobre-novembre 1942, pp. 180-183. Jean Lhermitte (1877-1959). Neurologue et psychiatre français. Elève de Fulgence Raymond et de Pierre Marie. Successivement chef de clinique de ce dernier à la Salpêtrière, médecin en chef de Henri Claude, il devient professeur de psychiatre en 1923. Il s’intéresse de très près aux phénomènes mystique ainsi qu’à la possession démoniaque et nous laissera de nombreux articles sur ces sujets ainsi que quelques ouvrages dont : — La Psychanalyse. Extrait de la « Gazette des hôpitaux civils et militaires », (Paris), 94e année, n°93, 26 En lire plus

Les présages du point de vue psychanalytique. Par René Allendy. 1927.

René Allendy. Les présages du point de vue psychanalytique. Article paru dans l’Evolution psychiatrique, (Paris), Editions Payot, 1927, pp. 229-244. René-Félix Allendy (1882-1942.). Médecin et homéopathe, il s’intéressa à la psychanalyse dès 1920 et devint psychanalyste après avoir fait son analyse avec René Laforgue. Un des douze fondateurs, à l’initiative René Laforgue et Marie Bonaparte, de la Société psychanalytique de Paris en 1926. Il aura comme patient, entre autres, Antonin Artaud et Anaïs Nin. Sa thèse de médecine, L’alchimie et la médecine, dénote son intérêt précoce et jamais démenti pour l’occultisme. Nous retiendrons son rapprochement des théories surréaliste et l’ouvrage qu’il écrivit Capitalisme et sexualité, qui semble aujourd’hui de toute actualité. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale En lire plus