Articles du mot-clé : acte manqué

Aperçu sur le freudisme. Par Henri Codet. 1923.

Henri Codet. Aperçu sur le freudisme. Article parut dans la journal «Le progrès médical», (Paris), 12 mai 1923, pp. 236-238. Sur-titré : « Le mouvement psychiatrique ». Henri Codet (1889-1939). Dès ses premières année de philosophie il fut attiré par la psychiatrie, à la suite de la lecture de Pierre Janet. Il fut l’élève de Séglas et de Souques à la Salpêtrière. Chef de clinique de Henri Claude, il soutint une thèse qui restera une référence, tant pour le sujet traité, que par la forme, Le collectionnisme normal et pathologique (1921). Il fut avec son épouse, un des fondateurs du groupe de l’Evolution psychiatrique en 1925. Il sera parmi les fondateurs de la Société psychanalytique de Paris. Il mourra dans un accident de En lire plus

Aperçu de la psychanalyse. Par Jules Romains. 1922.

Jules Romains. Aperçu de la psychanalyse. Extrait de « La Nouvelle Revue Français », (Paris), 9e année, n°100, nouvelle série, 1er janvier 1922, pp. 5-20. Jules Romain, pseudonyme de Louis Henri Jean Farigoule est né à Saint-Julien- Chapteuil (Haute-Loire) le 26 août 1885 et mort à Paris le 14 août 1972. Poète et écrivain, agrégé de philosophie, il s’intéressa à la physiologie, en particulier à la vision extra-rétinienne. Auteur polygraphe, ses publications sont innombrables. Il a au regard de la psychanalyse une approche très partagée, comme on peut le constater dans l’article que nous mettons en ligne. Critique non sans pertinence, son article est loin d’être une mise à mal globale de la psychanalyse et de Freud, comme les contributions de son contemporain En lire plus

Les présages du point de vue psychanalytique. Par René Allendy. 1927.

René Allendy. Les présages du point de vue psychanalytique. Article paru dans l’Evolution psychiatrique, (Paris), Editions Payot, 1927, pp. 229-244. René-Félix Allendy (1882-1942.). Médecin et homéopathe, il s’intéressa à la psychanalyse dès 1920 et devint psychanalyste après avoir fait son analyse avec René Laforgue. Un des douze fondateurs, à l’initiative René Laforgue et Marie Bonaparte, de la Société psychanalytique de Paris en 1926. Il aura comme patient, entre autres, Antonin Artaud et Anaïs Nin. Sa thèse de médecine, L’alchimie et la médecine, dénote son intérêt précoce et jamais démenti pour l’occultisme. Nous retiendrons son rapprochement des théories surréaliste et l’ouvrage qu’il écrivit Capitalisme et sexualité, qui semble aujourd’hui de toute actualité. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale En lire plus