Louis D’Albory. Les Songes dans la Bible. Extrait de la « Revue du monde invisible – 1906-1907 », 9e année, n° 10, 15 mars 1907, pp. 641-649.

Louis D’Albory. Les Songes dans la Bible. Extrait de la « Revue du monde invisible – 1906-1907 », 9eannée, n° 10, 15 mars 1907, pp. 641-649.

 

Le travail de Louis d’Albouy comprend deux parties indépendantes, celle -ci, et une autre qui se trouve également sur notre site : Rêves et songes. Extrait de la« Revue du monde invisible – 1906-1907 », 9eannée, n° 10, 15 mars 1907, pp. 577-592.

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Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Les  images sont celles de l’article original. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection personnelle sous © histoiredelafolie.fr

 

[p. 641]

Les Songes dans la Bible.

Nous avons donné la doctrine générale sur les songes ; et peut-être a-t-on trouvé que ces notions trop nombreuses ne facilitent pas l’appréciation de ceux qu’on peut avoir, ou qu’on entend raconter. Cela même prouve que la divination par les songes n’est pas Une science réelle, basée sur des principes certains : aussi ne doit-on pas, d’habitude, lui donner plus d’importance qu’Il ne parait convenir.

Cependant, nous l’avons dit, il est des songes prophétiques, révélation divine dont les circonstances qui les entourent, et les signes qui les différencient des autres, montrent le surnaturel. On les trouve d’ordinaire dans la Bible et dans les Vies des Saints ; et ce sont quelques-uns de ceux de la Bible que nous allons rapporter ici.

  1. —L’échelle de Jacob

Au livre de la Genèse, chapitre XXVIII, on lit que le vieil Isaac ordonne à son fils Jacob d’aller en Mésopotamie, pour épouser une des filles de Laban, et le bénit, en lui rappelant les promesses de Dieu à Abraham. Or, dit ici le texte :

Jacob étant donc sorti de Bersahéc, allait à IIaran ; et étant venu en un certain lieu, comme il voulait s’y reposer après le coucher du soleil, il prit une des pierres qui étaient là, et la mit sous sa tête, et s’endormit an même lieu.

Alors il vit en songe une échelle dont le pied était appuyé sur la terre, et le haut touchait au ciel ; et des anges de Dieu montaient et descendaient le long de l’échelle.

Il vit aussi le Seigneur appuyé sur le haut de l’échelle, qui lui dit : « Je suis le Seigneur, le Dieu d’Abraham, votre père, et le Dieu d’Isaac ; je donnerai à vous et à votre race le lieu où vous dormez.

« Votre postérité sera nombreuse comme la poussière de la terre ; vous [p. 642] vous étendrez de l’orient à l’occident, au septentrion et au midi ; et toutes les nations de la terre seront bénies en vous, et dans celui qui sortira de vous.

« Je serai votre protecteur partout où vous irez ; je vous ramènerai dans ce pays, et ne vous quitterai point que je n’aie accompli tout ce que j’ai dit. »

Jacob s’étant éveillé après son sommeil, se dit : Le Seigneur est vraiment en ce lieu-ci, et je ne le savais pas. Et dans sa frayeur il s’écria : Que ce lieu est terrible !… Et se levant le matin, il prit la pierre qu’il avait placée la veille sous sa tête, l’érigea en monument, et répandit de l’huile dessus. Et il donna le nom de Bethel à la ville qui auparavant s’appelait Luza…

Il faut ad—mettre aisément que rien dans les circonstances qui avaient précédé, ou dans les idées qui préoccupaient alors le jeune voyageur, ne pouvait donner lieu à quelqu’une des particularités de ce songe ; et l’on reconnaitra aussi que les paroles du personnage placé au sommet de celte mystérieuse échelle se sont absolument accomplies : l’histoire du peuple hébreu en fait foi.

Sans doute, Jacob avait entendu raconter les promesses de Dieu à Abraham et à Isaac ; et, allant se marier, pouvait se voir dans le lointain des âges une nombreuse postérité. Mais cette pensée même serait aussi naturelle à tout autre époux: et pourtant, quel est le futur père de famille qui s’arrête même à cette pensée ! surtout, quel est celui qui ait eu un songe identique !

Il n’y a donc qu’une explication : le songe de Jacob marquait une révélation divine, partie intégrante des desseins de la Providence sur le peuple qui devait donner le Messie.

  1. —Jacob allant en Égypte.

De longues années étaient écoulées, un des plus jeunes fils de Jacob était devenu le premier ministre du roi d’Égypte, et, après certains incidents très émouvants que raconte le livre de la Genèse, chapitres XLII à XLV, le vieux Jacob et toute sa famille, au nombre de soixante-six personnes, quittent leur pays à l’appel de Joseph. [p. 643]

Or, au cours du voyage, à Bersabée, Jacob voulut offrir un sacrifice à Dieu pour son défunt père Isaac, car c’était là qu’il en avait été béni à son départ pour la Mésopotamie : et, la nuit, il eut un songe.

Il entendit Dieu dans un songe pendant la nuit, qui l’appelait et lui disait : « Jacob, Jacob. » Et il répondit : « Me voici ! »

Et Dieu ajouta : « Je suis le Dieu très puissant de votre père ; ne craignez point, allez en Égypte, parce que je vous y rendrai le chef d’un grand peuple.

« J’irai là avec vous, et je vous en ramènerai lorsque vous en reviendrez. Joseph lui-même vous fermera les yeux de ses mains. »

Jacob partit donc avec ses enfants, ses petits-enfants, et leurs femmes, dans les chariots que Pharaon avait envoyés…

Ce songe se présente avec trois circonstances spéciales : Il a lieu dans la même ville où son père Isaac l’avait béni autrefois, et c’est après un sacrifice offert à Dieu pour le vieux patriarche : —Dieu le confirme dans la pensée que ce voyage d’Égypte est providentiel ; —et il lui annonce que sa famille s’y multipliera jusqu’à devenir un grand peuple, mais retournera ensuite en Chanaan, conformément à de précédentes promesses.

Il serait oiseux d’ajouter que la suite de l’histoire des hébreux a confirmé, en effet, la prophétie ; mais on peut du moins remarquer que, si une partie du songe répond à une préoccupation possible sur l’issue de ce voyage, elle réfute aussi l’objection tirée de ce que cet établissement en Égypte allait contredire l’ancienne promesse faite dans le songe de l’échelle mystérieuse, puisque le retour en Chanaan y est annoncé. Il y a donc concordance pal-faite, et révélation certainement divine : et si le bon accueil de Pharaon était prévu, la suite des événements, quelques siècles plus tard, ne pouvait être connue que de Dieu.

III. —Le songe du prophète Nathan

Le roi David voulait bâtir un temple, pour abriter l’arche d’alliance : et le prophète Nathan le félicite et l’encourage. (II livre des Rois, VII.) [p. 644]

Or, la nuit suivante, Nathan eut un songe :

Le Seigneur parla à Nathan la nuit suivante, et lui dit : « Allez trouver mon serviteur David, et dites-lui : Voici ce que dit le Seigneur : Me bâtirez-vous une maison afin que j’y habite ? Depuis que j’ai tiré de l’Égypte les enfants d’Israël… ai-je jamais dit : Pourquoi ne m’avez-vous pas bâti une maison de cèdre ?

« … Lorsque vos jours seront accomplis, je mettrai sur votre trône après vous votre fils… Ce sera lui qui bâtira une maison à mon nom… »

—Nathan parla donc à David, et lui rapporta tout ce que Dieu lui avait dit, et conformément à la révélation qu’il avait eue…

Ce songe ne se rapporte absolument en rien aux pensées qu’avaient alors le roi et le prophète. David a considéré qu’il habite une maison de bois de cèdre, tandis que l’arche d’alliance n’est abritée que par des tapis faits de peaux de bêtes ; sa piété veut donc pour Dieu un temple qu’il fera magnifique. Nathan ne pouvait que l’approuver.

Comment expliquer que ce prophète ait pu changer d’avis ?

Homme de Dieu, et serviteur dévoué au roi, le projet devait doublement lui plaire ; et l’on ne peut donc lui trouver un motif secret de désapprobation. Bien plus, tout ce long chapitre contient des prophéties sur Salomon, avec des indications précises que personne au monde ne pouvait prévoir. En outre, après le discours de Nathan, on voit David se rendre auprès de l’arche d’alliance, et adresser à Dieu une longue prière d’humilité, de gratitude et de louange, que la prétendue supercherie de Nathan n’avait pu inspirer.

Pour tous ces motifs, le songe de ce prophète est certainement authentique, les circonstances si diverses qui l’entourent en étant l’irréfutable preuve.

  1. — Le songe de Salomon

Au IIIe livre des Rois, chapitre III, nous lisons :

Or, le Seigneur apparut à Salomon, en songe pendant la nuit, et lui dit : « Demandez-moi ce que vous voulez que je vous donne. » Salomon répondit : « Vous avez usé d’une grande miséricorde envers David, mon père, votre serviteur… [p. 645]

« Maintenant donc, Seigneur, vous m’avez fait régner, moi qui suis votre serviteur, en la place de David, mon père ; mais je ne suis encore qu’un adolescent, qui ne sait de quelle manière il doit se conduire…

« Je vous supplie donc de donner à votre serviteur un cœur docile, afin qu’il puisse juger votre peuple, et discerner entre le bien et le mal ; car qui pourrait rendre la justice à votre peuple, ce peuple si nombreux ? »

Et le Seigneur agréa que Salomon lui eût fait cette demande, et il lui dit :

« Parce que vous m’avez fait cette demande, et que vous n’avez point désiré que je vous donnasse un grand nombre d’années, ou de grandes richesses, ou la vie de vos ennemis, mais que vous m’avez demandé la sagesse pour discerner ce qui est juste, j’ai déjà fait pour vous ce que vous m’avez demandé, et je vous ai donné un cœur, si plein de sagesse et d’intelligence, qu’il n’y a jamais eu d’homme, avant vous, qui vous ait égalé, et qu’il n’y en aura point après vous.

« Mais je vous donne, même de plus, ce que vous ne m’avez pas demandé, savoir : les richesses et la gloire… »

Salomon, s’étant réveillé, fit réflexion au songe qu’il avait eu ; et, devant l’arche d’alliance, il offrit au Seigneur des holocaustes et des victimes pacifiques, et il fit, à tous ses serviteurs, un grand festin.

Était-ce ici un simple songe ?  Des commentateurs ne le croient pas. Ils disent plutôt une vision en songe, comme en ont eu souvent les prophètes. Dans ces visions, les sens sont assoupis, il est vrai, mais l’esprit est éveillé et actif. Salomon pouvait donc très bien parler à Dieu, et en avoir une communication effective de la sagesse qu’il avait demandée.

Au reste, même dans nos songes, nous tenons conversation; le dialogue de Salomon est donc admissible. A la vérité, il eût suffit que Dieu donnât au jeune roi une grande intelligence avec la pénétration d’esprit nécessaire : mais la vision permettait au prince adolescent d’adresser à Dieu une demande déjà pleine de sagesse, qui prouvait abondamment la justesse de ses intentions.

Un tel songe ne s’invente pas. Un désir exprimé à l’état de sommeil ou de rêverie n’est jamais qu’un désir bientôt évanoui : mais la longue administration de ce roi célèbre donne raison au songe : il est donc authentique. [p. 646]

  1. —Songe de Judas Macchabée

Il n’est aucun érudit qui ne sache qu’après la mort d’Alexandre le Grand, le vaste empire des Grecs fut divisé en quatre royaumes, et que la Palestine fut souvent ravagée par les rois d’Égypte et de Syrie qui se la disputaient.

Vint le jour où Antiochus-Épiphane voulut même extirper la religion mosaïque, et contraindre les Juifs à embrasser le paganisme. De là, ces révoltes et ces guerres, dont les héros juifs s’appelèrent Mathathias, Judas, et d’autres encore.

Or, les hauts faits d’armes de Judas le firent surnommer « le marteau, martel, ou marteleur », comme plus tard, en France, Charles-Martel. Mais, en syro-chaldéen, ce mot était maqqâba, d’où le nom de Macchabée ; et deux livres, dans la Bible, racontent tous ces faits.

C’est à la fin du second livre, chapitre XV, que se place le songe de Judas Macchabée.

Il exhortait ses gens,… les arma,… et leur rapporta une vision très digne de foi, qu’il avait eue en songe, et qui Ios combla tous de joie.

Et voici quelle fut cette vision : Onias, qui avait été grand prêtre, et un homme plein de bonté et de douceur, modeste de mœurs, agréable de conversation, exercé dès son enfance dans toutes les vertus, cet Onias élevait les mains vers le Seigneur, et priait pour tout le peuple juif.

Puis, avait apparu près de lui un autre homme, d’âge vénérable, éclatant de gloire, environné de majesté.

Et Onias, le lui montrant, avait dit : « Celui-ci est le véritable ami de ses frères et de tout le peuple d’Israël ; il prie beaucoup pour le peuple et pour la sainte cité tout entière ; c’était un prophète de Dieu, Jérémie. » En même temps Jérémie avait étendu la main, donné à Judas une épée d’or, et lui disait : « Prenez ce glaive saint, connue un présent de Dieu ; avec lui, vous renverserez les ennemis de mon peuple d’Israël.»

Voilà le songe, avec l’apparition de deux personnages.

Dira-t-on que le général qui le raconte à ses troupes l’a inventé de toute pièce ? Il est inscrit dans un livre historique que juifs et chrétiens ont également admis ; et ce livre, ne serait-il pas sacré pour la religion, mérite au moins autant de confiance que les récits des autres anciens historiens. [p. 647]

L’effet fut merveilleux : l’ennemi approche, Judas Macchabée adresse au ciel, à haute voix, une fervente prière, et ses soldats et lui, chargeant aussitôt l’épée à la main, remportent une glorieuse victoire. Trente-cinq mille hommes de l’armée ennemie, parmi eux le général en chef Nicanor, sont restés sans vie sur le champ de bataille.

On peut en discuter les détails : aucun qu’on ne puisse admettre. Quand l’existence d’un peuple est en jeu, son chef ne peut qu’être préoccupé de l’issue de la bataille décisive : pourquoi même humainement dans un sommeil, sans doute agité, n’aurait-il pas un songe ? et pourquoi, dans ce songe, deux des anciens personnages illustres de son pays ne pourraient-ils paraitre converser avec lui ?

Ce songe est donc évidemment possible ; et j’ajoute que la double apparition est non moins vraisemblable. Le spiritisme admet la manifestation des esprits d’outre-tombe ; ses tenants ne voudront donc pas nier que Judas Macchabée ait pu converser, dans cette vision, avec Onias et Jérémie.

  1. —Quelques réflexions

Voilà des récits bibliques, corroborés par les événements qui suivirent les songes. On ne peut mettre en doute ces récits ; car après les négations qui déchireraient ces pages de la Bible, rien n’empêcherait d’autres négations d’arracher à leur tour d’autres feuillets, pour détruire insensiblement tout le livre.

De quel droit s’en prendre ainsi aux historiens sacrés ? Et pourquoi alors ne pas en agir de même avec Homère, Thucydide, Virgile, Xénophon, Quinte-Curce, Tite-Live et tant d’autres.

Les deux songes de Jacob sont des incidents de ses deux voyages. L’auteur qui les raconte avait sans doute sous les yeux la multitude des Hébreux qui en étaient les descendants ; mais il prenait ses récits dans une tradition connue de tous, et qu’il ne pouvait inventer. Bien plus, à l’heure où il écrivait dans le désert, non seulement les Hébreux n’étaient pas encore en possession du pays de Chanaan, mais aucun [p. 648] des six cent mille hommes qu’il amenait d’Égypte, sauf deux seuls, ne devaient y entrer. Et pourtant, la prophétie s’accomplit. L’authenticité des songes de Jacob, qui auraient pu n’être qu’ extraordinaires dans leurs détails, est donc rehaussée par leur caractère de révélation divine. Ni matérialistes, ni philosophes, ni même spirites ne leur trouveront une autre explication admissible.

Du songe de Nathan, dangereux revirement d’opinion qui met en défaut la sagesse de cet homme et s’oppose au projet du roi, que pourrait-on dire ? Le seul fait d’oser le rapporter au souverain constituait une grave imprudence : il fallait donc à Nathan des motifs supérieurs. La vérité de la parole entendue dans la vision s’imposait donc d’elle-même ; et l’accomplissement de la prophétie en montra ensuite dans l’histoire juive la divine autorité. Ici encore, comment s’inscrire en faux !

Le songe de Salomon défie à son tour toute critique. Nous ne voyons pas trop, en effet, un jeune roi de vingt ans venir dire à ses ministres et à ses familiers : « Vous savez, j’ai rêvé cette nuit que je suis dès ce jour le plus intelligent et le plus juste des rois qui aient jamais existé chez tous les peuples, et qu’après moi aucun ne m’égalera ; et puis, si vous ne me croyez pas, repassez dans cinquante ans pour juger de la sagesse de mon administration. »

Traduit dans ce langage moderne, le songe d’un tel prince ne convaincrait guère ses auditeurs : ils acquiesceraient devant lui, hausseraient les épaules en sortant, et se réuniraient ensuite pour nommer un « Conseil de régence ». Mais, à cette date reculée, la Judée n’avait ni Bicêtre, ni Charenton, ni Ville-Evrard. On n’attendit pas longtemps. Le règne de Salomon fut le plus remarquable de toute l’histoire du peuple hébreu.

Reste, parmi les songes rapportés jusqu’ici, celui de Judas Macchabée.

Comme celui de « l’échelle de Jacob », il présente cette particularité, que des « esprits d’outre-tombe » ont apparu au dormeur. On ne saurait dire que Judas et Jacob fussent des médiums, ni même des spirites ; on ne prétendra pas que [p. 649] les anges de l’échelle de Jacob étaient des esprits de « désincarnés », comme dit si peu philosophiquement la philosophie kardéciste, et l’on doit bien reconnaitre que les âmes d’Onias et de Jérémie n’avaient pas été évoquées.

Il y a donc, somme toute, dans la divination par les songes, une inconnue qui échappe à toute science ; dans les songes eux-mêmes, parfois une intervention supérieure dont aucune action humaine n’a pu provoquer la manifestation ; et dans la vision de certains personnages qui ont un rôle actif dans ces songes, une action vraiment surnaturelle, qu’aucune doctrine spirite ne saurait expliquer.

Montons donc plus haut, et demandons à la Providence divine, non pas ses secrets, mais la solution du problème. Dieu, quand il le veut, de la façon qu’il le veut, et à qui il le veut, manifeste ses desseins ; et nous avons vu, par quelques-uns des songes prophétiques dont la Bible nous a fait le récit, comment le « spiritualisme » laisse loin derrière lui, sur la route des choses de l’au-delà, toutes les doctrines spirites. L’argumentation n’a pas besoin de plus longs détails.

 

Louis D’ALRORY.

 

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