Joseph Lévy-Valensi, Picard et Sonn. Délire spirite et pithiatisme. Article paru dans la revue «L’Encépahle», (Paris), vingt troisième année, 1928, pp. 947-951.

LEVY-VALENSISPIRITISME0001Joseph Lévy-Valensi, Picard et Sonn. Délire spirite et pithiatisme. Article paru dans la revue «L’Encépahle», (Paris), vingt troisième année, 1928, pp. 947-951.

Joseph Lévy-Valensi (1879-1943). Médecin, neuropsychiatre, Professeur à la Faculté de médecine de Paris, historien de la médecine. Interne, entre autres, de Gilbert Ballet puis chez Fulgence Raymond, il fait connaissance chez celui-ci du jeune agrégé Henri Claude. Ilfut aussi chef de clinique de Jules Déjerine à la Salpêtrière. Reçu au concours de l’agrégation en 1929, il aura été pendant treize ans agrégé dans le service du professeur Henri Claude à Sainte-Anne (Paris). En octobre 1939, Lévy-Valensi devient titulaire de la chaire d’Histoire de la Médecine à la Faculté de Médecine de l’Université de Paris. Quelques publications :
— Spiritisme et folie. Article paru dans la revue «L’Encéphale. Journal mensuel de neurologie et de psychiatrie», (Paris), cinquième année, premier semestre, 1910, pp. 496-716. [en ligne sur notre site]
— (Avec) Henri Baruk  et Callegari. Trois cas de délire d’influence. Article paru dans le « Journal de psychologie normale et pathologique », (Paris), XXIIe année, 1925, pp. LXXII-LXXVIII. [en ligne sur notre site]
— Les vertiges. Avec 42 figures. Paris, Nobert Maloine, 1926. 1 vol.
— Diagnostic neurologique. Avec 395 figures. Paris, J.-B. Baillière et fils, 1925. 1 vol. – Deuxième édition. Paris, J.-B. Baillière et fils, 1932. 1 vol.
— L’automatisme mental dans les délires systématisés chroniques d’influence et hallucinatoires. Le syndrome de dépossession. Rapport de psychiatrie présenté au Congrès des médecins aliénistes et neurologistes de France et des pays de langue française, XXXI-Paris, Masson et Cie, 1927. 1 vol.
— Délire spirite, écriture automatique. Article paru dans les « Annales médico-psychologiques », (Paris), XIIIe série, 89e année, tome deuxième, 1931, pp. 126-140. [en ligne sur notre site]
—Délire archaïque (astrologie, envoûtement… magnétisme). iArticle paru dans les « Annales médico-psychologique », (Paris), XIV série, 92e année, tome 2, 1934, pp. 229-232. [en ligne sur notre site]
— La médecine et les médecins français au XVII° siècle. Avec 51 planches et 86 figures dans le texte. Paris, J.-B. Baillière, 1933. 1 vol. — Deuxième édition avec 123 figures dans le texte. Paris, J.-B. Baillière et fils, 1939. 1 vol. — Troisième édition. Avec figures dans le texte. Paris, J.-B. Baillière et fils, 1948. 1 vol.

Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Les  images ont été rajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection personnelle sous © histoiredelafolie.fr

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Délire spirite et pithiatisme

par MM. LÉVY.VALENSI, PICARD et SONN

Les exemples de délires provoqués chez des prédisposés par la pratique du spiritisme ne sont pas rares et l’un de nous dès 1910 en avait relevé un certain nombre (1). Au cours de différents travaux il a insisté d’autre part sur l’existence à la base des délires par automatisme mental d’une constitution très vaste pour laquelle il a provisoirement proposé le terme de constitution automatique. Cette constitution engloberait en particulier les imaginatifs, rêveurs, mythomanes, pithiatiques, émotifs. Elle serait le terrain sur lequel, à l’occasion d’incidents pouvant être organiques, germeraient des accidents divers parmi lesquels l’obsession et l’automatisme mental au sens de Clérambault (syndrome de dépossession de Lévy-Valensi).

Cette observation est une démonstration de cette opinion. La malade, sur un terrain pithiatique, greffe des obsessions et un délire de possession, véritable délire de dépossession. La suggestibilité qui caractérise le pithiatisme se révèle chez elle par la facilité avec laquelle on peut, à volonté, au cours d’une conversation normale faire apparaître les éléments du syndrome.

Observation. — Mlle L. Marcelle, couturière, âgée de 36 ans, est entrée dans le service de la Clinique le 8 mars dernier avec le certificat suivant : « Syndrome d’influence et de possession démoniaque datant de plusieurs années, à point de départ d’hallucinations psychiques ; elle recevrait des ordres du diable « qu’elle entend lui parler dans son cerveau » et qui la fait parler. Une « conversation intérieure » s’établit entre elle et le diable aboutissant ainsi à un vrai dédoublement de personnalité : tantôt c’est elle-même qui parle, tantôt c’est le diable qui la possède, qui parle par sa bouche, qui l’insulte, lui parle en termes grandiloquents et avec des expressions théâtrales. Elle a cherché à plusieurs reprises à se faire exorciser, mais « l’emprise démoniaque est trop forte ». Les réflexes pupillaires et tendineux sont normaux. Cette malade aurait fait des tentatives de suicide, etc. » (Dr Largeau).

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L’histoire de notre malade est la suivante : pas de maladie mentale connue dans la famille. Rien de spécial chez les ascendants ou les collatéraux. L’enfance de Marcelle n’a pas comporté d’incidents pathologiques. Son développement a été normal ; les connaissances scolaires ont été facilement acquises, mais elle n’a pas obtenu son certificat d’études, ayant été placée trop tôt comme apprentie. Son caractère s’est montré cependant de bonne heure étrange, fantasque, indiscipliné, autoritaire. Elle ne souffrait aucune observation, n’admettait pas de commandement, était irritable et se mettait facilement en colère. En outre tendance certaine très précoce à l’exagération [p. 948] dans les récits avec propensions mythomaniaques et imaginatives. Réglée vers la quatorzième année, elle est restée bien réglée. Sa vie affective n’a comporte que deux ou trois affaires amoureuses qui ne semblent guère l’avoir affectée. Couturière, elle a toujours travaillé seule et à son compte, son caractère, au dire de sa sœur, ne lui permettant pas de vivre dans un atelier. Depuis l’âge de 18 ans, elle se serait complue dans des pensées romanesques, allait fréquemment voir des tireuses de cartes, désirait devenir une étoile de cinéma, allait deux à trois fois par semaine au Gaumont le soir pour obtenir un engagement. Dès 1922, son entourage remarque des modifications dans le comportement de Marcelle. Elle ne sortait plus, ne voulait plus d’aucune fréquentation, était devenue bigotte alors que ses convictions religieuses n’avaient jamais été bien fermes jusqu’alors, garnissait sa chambre d’images pieuses, restait des heures entières à prier. En décembre 1926, elle commence à s’occuper de spiritisme à la suite d’une visite chez des amis qui faisaient tourner les tables. A partir ce de moment elle a acheté une table, dite la table d’Antinéa, et faisait elle-même du spiritisme. Elle semble avoir été fors profondément troublée dès le début par les pratiques de l’occultisme. Dès lors elle se mit à invoquer les esprits qui, selon elle, lui ordonnaient de prier et lui faisaient des révélations sur son avenir. C’est ainsi qu’ils lui prédisaient qu’elle aurait un engagement pour l’Amérique au mois de juillet suivant. A ce moment elle a éprouvé une grosse déception de ne point partir ainsi que le lui avait prédit la table. Mais ce n’est que vers le 20 août qu’apparaissent les premières hallucinations psychiques et fin octobre l’aggravation nette des phénomènes avec amplification de ces hallucinations auxquelles se joignent des hallucinations verbales et psycho-motrices. Elle manifeste alors un délire d’emblée fixé et non évolutif à thème de possession démoniaque tandis que sa diathèse hystérique ne fait que s’affirmer un peu plus. Elle raconte aux siens, un jour, qu’elle est passée sous une auto : or, elle était vêtue d’une robe blanche qui n’était nullement défraîchie. En janvier 1928 elle sort brusquement de chez elle, échappe à la surveillance de sa famille, revient quelques instants après, trempée, disant qu’elle s’était jetée dans le puits et qu’elle s’en était retirée parce que l’eau était bouillante (la famille ne croit qu’à demi à cette immersion dans le puits car celui-ci avait 7 mètres de profondeur). Simultanément apparaissent des périodes d’agitation avec insomnie, logorrhée incohérente, tendance aux fugues, le tout empreint d’un caractère d’exagération et de dramatisation évidentes. Avant que d’être internée, signalons que la malade a été l’objet de deux tentatives vaines d’exorcisme, tandis que l’esprit injuriait par la bouche de la malade durant toute a cérémonie.

Assez calme dans le service quand on ne l’observe pas, Marcelle dès le début de l’interrogatoire s’agite, pleure et déclame de plus en plus. Elle parle d’elle-même à la troisième personne avec une expression dramatique et des intonations caverneuses. C’est le démon qui la possède, qui parle par sa bouche et narre avec complaisance toute sa lamentable histoire : « La femme qui est là sent combien elle est ridicule. Elle voudrait me faire taire mais elle ne le peut pas. C’est une femme qui a toute sa lucidité et dont j’ai pris la voix. Je la fais parler mentalement. La femme a sa raison mais la personne qui cause je n’ai pas le droit de le dire. Ce que je peux vous dire : c’est que c’était une enfant extraordinaire et chétive qu’un docteur voulait adopter. Sa mère a eu la bêtise de l’emmener à l’âge de 16 ans chez une cartomancienne parce qu’une voisine lui avait dit : « Elle a prédit juste l’avenir de ma fille ». Elle a fait faire son horoscope à l’âge de 20 ans. Elle a été une autre fois chez une voyante russe de la Place Pigalle. Quand elle était toute seule, elle ruminait « on m’a dit ceci ; on m’a dit ça ». « Elle a connu un fiancé quand elle était infirmière bénévole. Elle n’a pas eu de chance. C’était le dernier des derniers, un criminel, un voleur. Elle a su qu’il était affilié à un italien qui avait volé de l’argenterie. Elle a cassé son mariage le 20 septembre 1917. Elle s’en souvient comme moi ; elle n’a rien dit ; elle s’est confinée. Depuis lors elle a senti que tout la retenait. Elle faisait du tennis : elle se fatiguait tout de suite. Quand elle avait de belles robes, elle était poussée à ne pas les mettre. Quand [p. 949] elle allait au théâtre on l’empêchait de descendre au foyer. Un jour elle est descendue faire du spiritisme. Elle a parlé autrefois avec l’esprit de Rudolph Valentino avec la table. Elle est partie au bord de la mer et est devenue très pieuse. Un jour chez a chanté machinalement un cantique. Le 7 septembre à 6 heures du soir je lui ai fait faire tous les rôles de Rudolph Valentino. De la femme pieuse qui ne voulait plus mettre ses toilettes elle s’est mise à mettre du fard et des souliers de satin. Depuis quelque temps elle essayait de parler mais ne pouvait plus finir les mots. Dans le monde elle se disait : « Mon Dieu que j’ai l’air gourde » et avait l’idée qu’elle allait lâcher sa tasse de thé. Cette femme qui est là entend que je parle pour elle. Je ne fais que méchancetés sur elle. Je lui rappelle ses souvenirs, son enfance. Elle ne peut plus faire un mouvement : inhibée. Impossible de manœuvrer et je lui insuffle des paroles infâmes. Le plus terrible c’est qu’elle voudrait avoir sa propre voix, son chez elle et qu’elle ne le peut pas. Elle ne peut pas se l’expliquer. Elle a cherché à me questionner. Elle ne saura rien. Et pourtant son influence est extraordinaire. Elle a remarqué un jour que, au théâtre, le fauteuil devant le sien était vide. Les gens s’en allaient dès qu’ils s’en étaient rapprochés. Cette femme qui est là n’est plus elle-même : C’est moi qui parle par sa bouche. Je la fais boire, vomir, pleurer, marcher comme je veux. Je la fais danser, nager sur le plancher, retourner un sommier d’un seul tour de mains. Je lis ses pensées et y réponds. Je lui interdis toute lecture, tout travail (elle ne travaille plus depuis octobre 1927) la laissant inerte dans le lit, la rendant la plus infecte des créatures, la faisant uriner au lit, hurler des horreurs à tout le mond., [sic] pousser des hurlements de bête féroce. Une nuit, elle dormait, ses bras se sont levés et cela s’est mis à causer dans son cerveau. Cela lui a montré le Christ et elle a pensé qu’elle était réincarnée. J’ai voulu lui faire étrangler son père et sa mère. Un jour je lui ai fait fixer le soleil. Je lui ai fait dessiner par ses pas au cours de sa marche les dix chiffres de un à dix. Je lui ai fait jouer du piano. Cette femme a été torturée génitalement toute une nuit et elle ne savait où se mettre. Pour ce qui est de ces possessions du sexe, les rapports éprouvés lui ont semblé monstrueux. Cette double chose en elle je veux qu’on s’en rende compte. C’est un corps, une âme qu’on a amenée ici parmi ces détraquées, les tortures que je lui fais endurer sont innombrables. C’est un mystère pour la médecine. Personne n’y comprendra rien. La femme vous paraît folle, cependant elle a toute sa lucidité d’esprit. Je ferai d’elle la pire décadente. Elle ne demande qu’une chose la pauvre femme : c’est d’en finir le plus tôt possible. Je la fais agir comme une automate. Je suis le ver qui rampe. Je suis l’être immonde. Démon ou Satan. Je te persécute et te possède en même temps. Elle est sous la direction d’un être invisible. Elle voudrait se taire et est obligée de parler. Elle ne peut pas penser. Je la tiens par des tortures immondes sur le corps que je ne peux pas dire : toutes les sales sensations.

Elle ne se le représente pas. C’est uniquement moi dans son cerveau. Je lui fais contorsionner la bouche, les bras. J’ai demandé pour elle une cellule. On a dit que c’était ridicule. Elle avait une force contradictoire depuis sa naissance. Au moment où elle ne s’y attend pas, un mot part comme une fusée. Je lui rappelle les plus petites choses. Ton heure dernière sera plus horrible qu’une autre. Je lui parle intérieurement constamment. Je devine ce qu’elle pense. Elle peut penser ce qu’elle veut, je lui ricane intérieurement. Elle a peur des visites car je l’oblige à faire du scandale public. Je ne veux même pas qu’elle se coiffe. Je l’oblige à se coucher.

Toutes les bourriques qui croient au spiritisme croient que c’est un mort qui leur répond. En réalité chacun de nous en possède et de façon plus ou moins consciente et c’est moi qui fais tourner les tables. Je l’ai rendue pieuse fait pour me f… de la g… du monde. La vérité sort du puits. C’est moi qui l’y ai ait jeter. Elle ne voulait pas. Toute petite elle reculait devant ce puits. Elle avait l’appréhension de s’y jeter. Elle a fait un signe de croix recommandant son âme a Dieu puisque l’on dit qu’il y a un Dieu. Elle avait demandé à Dieu de faire un miracle. C’est moi qui l’ai fait en la faisant sortir.

Lorsque je lui ai parlé pour la première fois le 20 août mentalement, elle ne [p. 950] savait pas ce qui lui arrivait. Sa tête, c’est l’enfer. Elle ne désire qu’une chose c’est qu’on la rende idiote pour ne plus comprendre. Je fais d’elle ce que je veux. Je la retourne. Je lui tords bras et jambes. »

Actuellement, après plusieurs mois d’internement, la malade tout en se plaignant d’être aussi torturée, est plus calme, ne parle plus à la troisième personne, s’analyse mieux. Elle cherche à expliquer ce qui se passe en elle, en acceptant la morbidité. Elle éprouve la sensation d’un envahissement par des pensées parasites et simultanées. Par contre elle garde quelques idées de grandeur qui doive faire faire des réserves sur le pronostic.

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Cette femme nous semble intéressante à plusieurs points de vue. Il s’agit sans doute d’une prédisposée qui présente constitutionnellement la diathèse hystérique que l’on retrouve souvent, comme l’ont montré Pierre Janet, Grasset, Henneberg chez les médiums et les spirites, mais si cette diathèse colore d’une façon assez particulière le délire surajouté, il nous parait difficile d’admettre que le pithiatisme soit seul en cause. Il joue selon nous le rôle favorisant que peuvent jouer dans le développement d’un automatisme les tendances spontanées aux états subconscients et même un rôle aggravant du fait que la malade aura une propension marquée à dramatiser sa présentation, à l’amplifier par des additions mythomaniaques, à cultiver enfin grâce à sa suggestibilité particulière cette intrusion d’états automatiques qui aboutissent à un véritable dédoublement de sa personnalité consciente.

Contrairement à ce qui s’observe dans les délires spirites sur la base de la schizophrénie, nous ne trouvons pas de caractère paranoïde marqué, de bizarreries, de néologismes, de symboles ni de songeries idéalistes dans le sens de la doctrine spirite, tous faits bien étudiés dans un travail récent d’Otakar Janota (2). Il y a chez Marcelle absence de la discordance vraie et conservation des possibilités de l’activité pragmatique. Il y a enfin surtout persistance remarquable d’un certain sens critique vis-à-vis de la pensée adultère. Si le fond mental de la malade ne nous paraît pas par ailleurs d’une richesse bien remarquable, nous ne saurions néanmoins rattacher ce cas à ceux de délire de persécution à forme démonomaniaque développés chez des débiles à la suite de pratiques spirites, cas qui ont déjà été étudiés antérieurement par l’un de nous (3). Il nous apparait que notre malade présente plutôt un véritable automatisme mental avec prévalence du sentiment d’influence, hallucinations verbales, kinesthésiques et psychomotrices comme le fait a déjà été signalé (4), mais nous ne pouvons nous empêcher de noter chez Marcelle un aspect particulier de ses tendances psychopathiques qui font passer le caractère hystérique au second plan, c’est le côté psychasthénique et obsessionnel de son psychisme. On remarque l’exagération précoce des ruminations mentales, du mentisme, enfin plus tard l’apparition d’obsessions attribuées à une [p. 951] influence étrangère, par exemple la fixation involontaire du soleil, le dessin par la marche de 1 à 10 et même de véritables idées obsédantes à caractère impulsif telles celles d’étrangler les siens.

Le spiritisme ne saurait donc être seul incriminé dans le délire spirite qui résulte de la fusion des tendances constitutionnelles avec les pratiques occultes. Mais il est curieux de voir jusqu’à quel point il peut faire évoluer ces tendances et modifier le tableau clinique.

NOTES

(1) LÉVY-VALENSI. Spiritisme et folie. Encéphale, juin 1910. [en ligne sur notre site]

(2) OTAKAR JANOTA. — Spiritisme a spiritisckelo. Blonznenike Schizofrenii. Prague 1928.

(3) LÉVY-VALENSI et BOUDON. Deux cas de délire de persécution à forme démonomaniaque développés chez des débiles à la suite de pratiques spirites. Société de psychiatrie, 18 juin 1908.

(4) SCHIFF. — Automatisme mental, délire spirite et spiritisme. Annales médico-psychologiques, oct. 1926.

 

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